 qui, grâce à elle, n'a plus, lors de son exil américain, à se soucier du moindre problème d'ordre pratique ou financier. Elle modifie son testament en faveur du poète, et joue de ses réseaux pour que lui soient attribuées, en plus d'une place en tant que conseiller littéraire à la Bibliothèque du Congrès, des bourses de différentes fondations. Le financement de sa maison dans le Sud de la France et même ses frais médicaux dépendent, entre autres, de la mécène qui, dès 1953, oeuvre en coulisses pour que lui soit décerné le prix Nobel. Katherine Biddle, ou la groupie du poète.
qui, grâce à elle, n'a plus, lors de son exil américain, à se soucier du moindre problème d'ordre pratique ou financier. Elle modifie son testament en faveur du poète, et joue de ses réseaux pour que lui soient attribuées, en plus d'une place en tant que conseiller littéraire à la Bibliothèque du Congrès, des bourses de différentes fondations. Le financement de sa maison dans le Sud de la France et même ses frais médicaux dépendent, entre autres, de la mécène qui, dès 1953, oeuvre en coulisses pour que lui soit décerné le prix Nobel. Katherine Biddle, ou la groupie du poète.  d'images, les plus concrètes et les plus simples possibles car, pour Saint-John Perse, même si la poésie s'interdit la description et aborde toujours une idée abstraite, elle doit s'exprimer par des images physiques et sensuelles : la pluie, la neige, le vent…
d'images, les plus concrètes et les plus simples possibles car, pour Saint-John Perse, même si la poésie s'interdit la description et aborde toujours une idée abstraite, elle doit s'exprimer par des images physiques et sensuelles : la pluie, la neige, le vent… 