
que cela était toujours vrai", déclarait le réalisateur lors du festival. L'ampleur du succès du Majordome aux Etats-Unis et la déclaration d'Obama, qui a avoué avoir pleuré en le visionnant, démontre l'importance de son message pour l'Amérique contemporaine.
présidents et cet individu, à la fois ordinaire et extraordinaire, qui détermine le point de vue du film : la négociation constante qu'il doit opérer entre ce qu'il voit et ce qu'il souhaiterait, entre ce qu'il croit devoir faire et les autres modèles qui existent auprès de lui, notamment celui de son fils.
sièges de l'avion présidentiel pour transporter le cercueil dans la cabine et non dans la soute. Le même traitement est d'ailleurs réservé à Lee Harvey Oswald, que l'on verra bien moins que son frère, qui tente de faire face à la situation. Avant tout ce qu'il y a autour. De même, La Malédiction d'Edgar, par son mélange d'images d'archives et de fiction, commente ces mêmes images, devenues désormais l'histoire. Ce n'est pas un hasard si Edgar et Clyde regardent des images des Kennedy à la télévision en commentant leur maîtrise des médias. L'image est bien au cœur de ces trois films.


